Deux ans déjà que les terroristes assassinaient 32 personnes à Bruxelles national et dans la station de métro Maelbeek. Et en blessaient plus de 400 dont certaines sont encore à l’hôpital aujourd’hui. Souffrant le martyr. Sans oublier celles qui sont handicapées à vie par la perte d’un ou plusieurs membres.
Deux ans que nombre des victimes attendent vainement les dédommagements que les autorités avaient promis. Apparemment, il est plus difficile pour les pouvoirs publics de débloquer des fonds pour secourir les victimes des islamistes que pour financer de nouvelles mosquées ou des écoles musulmanes...
On observera qu’à de rares exceptions près, on n’a pas vu de mouvement de condamnation de ces attentats par la communauté musulmane. Certains de ses membres s’étant même ouvertement réjoui de ces crimes.
Depuis lors, grâce à l’efficacité de nos services secrets, plusieurs attentats majeurs ont été évités. Six, rien que pour l’année 2017. Et, grâce à l’intervention de nos militaires patrouillant dans les rues, des candidats tueurs ont été mis hors d’état de nuire, notamment lors de la tentative d’attentat de la Gare centrale de Bruxelles. Merci à eux.
Mais cela ne change rien au fond du problème : nous sommes en danger. Et le peuple en est bien conscient : un récent sondage montrant que deux tiers des Belges ont peur de prendre le métro.
C’est pourquoi la vigilance s’impose et malheureusement s’imposera longtemps.