Le reportage que l'on a pu voir le 14 mars sur RTL-TVI pour commémorer le 5e «anniversaire» du criminel, ruineux et anti-démocratique confinement a dépassé les limites de l'indécence. La classe, l’élégance et le calme de l’ancienne Première ministre cachant mal un cynisme de haut niveau. Et une forfaiture, dans le sens où elle a violé son serment de respecter la Constitution, en privant les citoyens de leurs libertés élémentaires pourtant garanties par cette dernière...
Si l'erreur est humaine, elle peut être pardonnée si elle est reconnue et avouée. En revanche quand on continue, contre toute réalité, a essayé de justifier l'injustifiable, cela devient insupportable. Certes, Mme Wilmès n'est pas seule responsable du confinement, puisqu’elle a pris cette funeste décision en accord avec le Conseil national de sécurité. Mais cela ne change rien à sa responsabilité. Quand on est premier ministre, on en a les avantages mais aussi les responsabilités.
33% de morts en moins en Suède !
Depuis longtemps, on sait que la seule manière de limiter les dégâts en cas de pandémie est de laisser l'immunité collective se développer. Nous l'avions écrit ici même dans les heures qui ont suivi cette scandaleuse décision. Aujourd’hui, la preuve est faite que cette réalité que les «vrais» scientifiques défendaient était fondée : les pays qui ont peu ou pas confiné ont déploré beaucoup moins de décès que ceux qui ont enfermé stupidement leur population. Pour s’en convaincre, les chiffres de l’OMS (pourtant favorable au confinement) disponibles sur le site Internet de cet organisme sont éloquents. Il suffit de comparer le nombre de décès déplorés en Suède à ceux de la Belgique. En données corrigées, en fonction du nombre d’habitants des deux pays, on constate que la Suède, qui n’a pratiquement pas confiné, a déploré 33 % de décès en moins que notre pays. Et ce fait n’est pas propre à l’Europe. A l'époque, le très sérieux « Times of India» publiait quotidiennement le nombre de décès du Covid et, là encore, il apparaissait clairement que les États indiens qui avaient confiné déploraient plus de décès que les autres.
Involontairement, un des participants au reportage a souligné à juste titre, qu'il s'agissait d'un problème à la fois médical, politique et communicationnel. En effet, il faut se souvenir qu'à l'époque «on» n’a laissé s’exprimer que les «experts» (?) pro-confinement et réduit au silence ceux qui défendaient les thèses raisonnables. Heureusement, en Belgique, ils ont échappé à la persécution que certains médecins compétents ont connu en France, L’un d’entre eux ayant même été arbitrairement envoyé en asile psychiatrique pour avoir contesté les décisions criminelles des Macron, Véran et consorts. Fort heureusement, la Justice a cassé illico cette décision arbitraire, digne de l’ex-URSS.
Manipulation et terreur
Du côté des médias, l’esprit critique a complètement disparu pendant cette crise. Tous ont publié quotidiennement le nombre de morts du Covid sans jamais parler des malheureux qui, au même moment, décédaient du cancer, d’AVC ou d'autres maladies graves. Ils n’étaient pourtant pas moins nombreux. En réalité, nous avons assisté à une manipulation de la population et à la création d’un État de terreur uniques dans un pays soi-disant démocratique. Ceci étant évidemment tout aussi vrai pour la France l'Italie, l'Espagne, l'Allemagne, l’Autriche, etc.
Au cours de ce reportage, on aurait pu espérer que l'on fasse au moins allusion à ceux qui courageusement se sont opposés au confinement soit par les moyens de communication dont ils disposaient, soit par des actions pratiques comme la réalisation de faux laisser-passer. Ils ont pourtant été bien plus nombreux qu'on veut bien le dire. Ou plutôt qu'on le cache.
Le résultat de cette énorme manipulation de propagande a d'ailleurs pu être constaté lors des élections européennes où Mme Wilmès a remporté plus de 500.000 voix de préférence et se poursuit aujourd'hui, puisqu’elle elle reste la personnalité politique préférée des francophones.
Le cynisme de Mme Wilmès a été observé à la fin de son interview de propagande quand elle a pris 15 secondes pour souligner les effets négatifs de sa décision, en évoquant les violences conjugales qu'elle avait générées. Omettant ainsi les morts causés par sa décision (et par celles du complice de corruption Vandenbroucke, ultérieurement), les suicides, les dépressions nerveuses, les traumatismes des enfants, les pertes d’emplois, les faillites d’entreprises, etc. Des ravages dont on paie encore les conséquences.
En même temps, on aurait aimé que soit mise en cause la collaboration des partenaires sociaux, tant syndicats que patronat qui n'ont pas levé le petit doigt pour souligner la catastrophe économique que le confinement allait générer et qui se fait encore sentir. Chez nous, bien sûr, mais aussi en Chine, qui fut le très démocratique modèle des Wilmès, Draghi, Macron et consorts. Et qui ne se remet toujours pas économiquement du confinement démentiel imposé à sa population.
Et le pire dans ce dossier, c'est que il semble que personne ne semble prêt à légiférer pour empêcher que des mesures pareilles puissent encore être prises dans l’avenir. Pire, Vandenbroucke a concocté en douce un plan susceptible de légaliser la dictature, en cas de nouvelle pandémie. Son héritage trotskyste étant indélébile. Sauf quand il s’agit d’argent, bien sûr.
Jacques Offergeld